Catégorie
Sculpture-VolumeTechnique
BronzeType d'oeuvre
Multiple (1/8)Certificat délivré par
artisteSignature
versoDimensions hors cadre
49 x 32 x 25 cm(19,29 x 12,6 x 9,84 in)
Facture délivrée par
DHL . personalment en FranceÉtat
excellentDate de fonte
2009Description de l'oeuvre
Estela CURRAO
(1970)
Le Jardin aux sentiers qui bifurquent / El jardín (2008)
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« ... défaire le visage, ou, comme disait H. Miller (Tropique
de capricorne), ne plus regarder les yeux ni dans les yeux, mais le
traversant à la nage, fermer ses propres yeux, et faire de son corps un
rayon de lumière qui se meut à une vitesse toujours plus grande? Bien
sûr il faut toutes les ressources de l'art. Il faut toute une ligne
d’écriture, toute une ligne de pluralité, toute une ligne de
musicalité ... Car c'est par l'écriture qu'on devient animal, c'est par
la couleur qu'on devient imperceptible, c'est par la musique qu'on
devient dur et sans souvenir, à la fois animal et imperceptible:
amoureux. Mais l'art n'est jamais une fin, il n'est qu'un instrument
pour tracer les lignes de vie, c'est-à-dire tous ces devenirs réels, qui
ne produisent pas simplement dans l'art, toutes ces fuites actives,
qui ne consistent pas à fuir dans l'art, à se réfugier dans l'art. »
Gilles Deleuze - Félix Guattari
Mille Plateaux. Année zéro. La visagéité.