Catégorie
PeintureTechnique
HuileType d'oeuvre
Oeuvre originaleSignature
bas droiteDimensions hors cadre
80 x 65 x 1 cm(31,5 x 25,59 x 0,39 in)
Dimensions avec cadre
95 x 78 x 2 cm(37,4 x 30,71 x 0,79 in)
État
excellentDescription de l'oeuvre
Thierry VAUBOURGOIN
(1944)
Bouquet
Vous avez une oeuvre similaire à vendre ?
J'ai acheté directement ce tableau a un ami aillant une société qui a acquit ce tableau.
j'ai rencontré l'artiste et j'ai racheté ce tableau à mon ami et j'ai fait installer un cadre doré.
Thierry Vaubourgoin est un peintre français, né à Paris le 8 février 1944. Après avoir vécu à Boisset (Cantal), il est installé à Hautefontaine (Oise).
Thierry Vaubourgoin est le fils de Marc Vaubourgoin et le petit-fils de Julien Fernand Vaubourgoin, tous deux compositeurs.
Ses premiers dessins remarqués en 1950, et première exposition se tient en 1952. Son aisance aura tôt fait d’intéresser les médias des années 1950. Il fait la une des grands journaux : « Mozart de la peinture » (Jours de France) ; « peintre prodige de 10 ans » (Sud-Ouest) ; « Un enfant qui peint comme un homme » (Familial). « Je me souviens que les journalistes du Times, dubitatifs, ont souhaité que je réalise une toile devant eux. Démonstration faite, ils m’ont consacré deux pages pleines », s’amuse aujourd’hui l'artiste. Un reportage de trois pages lui est consacré sous le titre « L'enfant prodige de 1955 » dans le numéro de juin 1955 de la revue Tout Savoir.
En 1960, Thierry Vaubourgoin est l'élève de Maurice Brianchon à l'École nationale supérieure des beaux-arts à Paris. En 1967, avec la toile La révolte des forces obscures, il obtient le pénultième (le prix fut supprimé après 1968) premier grand prix de Rome en peinture, après avoir déjà obtenu un second prix deux ans plus tôt1. Depuis lors, il expose en Europe et au-delà.
À partir de 1988, il s'emploie de pair avec le sculpteur Louis Lutz, lui aussi Grand Prix de Rome, à la réhabilitation de l'école des beaux-arts de Compiègne et y sera enseignant jusqu'en 2011.
Dans des gammes colorées grisâtres, sa peinture, influencée par le surréalisme et l'hyperréalisme, reflète avec distance et humour l’évolution de la société occidentale. En 2010, Thierry Vaubourgoin - « ce collègue qu'attire le rêve et dont il tire les éléments d'une œuvre que j'ai plus d'une raison d'appcécier » évoque Michel Ciry - a réalisé une série de vingt nus.