Gouache & lavis sur isorel. Provenance Collection de Hambourg. Des architectures à l’abandon, marquées par le sceau du modernisme dans un voile de mystère. L'artiste a traduit les spécificités des transformations sociopolitiques albanaises dans le langage de l'art. La France est alors la seule puissance occidentale avec une Ambassade à Tirana. Les façades des bâtiments froids qui entourent le centre et l’absence de figures humaines sont associés à un sentiment de mystère. L'esthétique rationaliste a suscité des formes sévères, des volumes, des espaces entre eux et des arbres en difficulté pour trouver leur place. Traduction de l’atmosphère tendue de ses 17ans à Tirana. Il sera bientôt accusé de peinture déviationniste et subira vers 1975, la "rééducation" communiste, obligé de travailler comme docker.