Catégorie
PeintureTechnique
Technique mixteType d'oeuvre
Oeuvre originaleCertificat délivré par
l'ArtisteSignature
haut droiteDimensions hors cadre
120 x 80 cm(47,24 x 31,5 in)
État
excellentThème
AbstraitMouvement
Abstraction lyrique et expressiveDescription de l'oeuvre
Patrick Victor DOPPAGNE
(1957)
She (A Sonia Delaunay)(2014)
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Pour la psychanalyse, la position féminine se révèle dans un rapport divisé quant à la fonction phallique. En effet, à la fois une femme n’est pas sans avoir de rapport avec la castration, et en même temps, ce rapport est partiel et non généralisable. Il est en fait indécidable.
En énonçant « La femme n’existe pas», Lacan extrait le féminin des impasses freudiennes du Penisneid et permet d’aller plus loin dans la théorisation d’une clinique de la féminité.
Si « la femme n’existe pas », alors chaque femme, une par une, aura à inventer sa propre solution afin de suppléer ce défaut du symbolique, donc à inventer sa propre façon d’être une femme.
Lacan introduit la notion de pas-tout au début des années 1970 pour rendre compte, avec l’outil logique, de ce que Freud n’a pas vu dans son élaboration assez tardive de la sexualité féminine : ce qui échappe à l’ordre phallique dans la féminité.
Ce dédoublement du sujet féminin entre le phallus et le signifiant de l’Autre radicalement Autre, autrement dit « entre une part où elle peut être sujet de l’inconscient et une part où elle ne rencontrera qu’absence au lieu d’existence».
Il semble donc que l’esthétique contemporaine dans ses représentations rejoint les questions soulevées par la théorie lacanienne, notamment autour du fait qu’il n’y a pas le signifiant de la femme dans l’inconscient et que le féminin forme finalement un trou dans le savoir.
Dans la cosmologie chinoise, Yin et Yang sont deux entités qui suivent le souffle originel qi à l'œuvre dans toutes choses.
Par exemple, pour les caractères chinois simplifiés :
le caractère Yïn(阴) est associé à la Lune et la glace (月) qui représente la part féminine de la nature ;
le caractère Yáng (阳) est associé au Soleil et au feu (日) qui représente la part masculine de la nature.
Le symbole du Yïn et du Yang, est bien connu dans le monde occidental depuis la fin du 20e siècle. Le yin représente entre autres, le noir (ou souvent le bleu), le féminin, la lune, le sombre, le froid, le négatif, etc.
Le yang, quant à lui, représente entre autres le blanc (ou souvent le rouge), le masculin, le soleil, la clarté, la chaleur, le positif, etc. Cette dualité est également associée à de nombreuses autres oppositions complémentaires.
Le symbole yin-yang, appelé en Chine « poissons yin et yang », forme la plus répandue du tàijítú des taoïstes et des néo-confucianistes, représente le Tao résultant de la dynamique de ces deux principes, l'unité au-delà du dualisme.
Les points de couleurs opposées, appelés biaoli dans la médecine chinoise, rappellent que ces deux concepts sont liés, se succèdent mutuellement et que l'un existe grâce à l'autre.
Le biaoli signifie également que dans tout ce qui est blanc il y a du noir, et inversement ; qu'il n'existe pas de noir total ou de blanc immaculé ; et qu'ainsi, personne ne peut être considéré comme entièrement mauvais ou bon.
L'amitié (entre des points de vues ou entre des milieux physiques) est le principe qui permet à des entités (morales ou physiques) opposées de communiquer entre elles.
Étymologiquement, le caractère du Yin signifie « Ombre ». Mais le Yin peut représenter des concepts aussi divers que : l’intériorité, la gentillesse, la négativité, la nuit, la lune, la féminité, la passivité, les ténèbres, etc.